TECH TRIBUNE (France)
Production : Mélissa Babineaux





Production : Mélissa Babineaux
Photo : Noël Manalili
Photo : Noël Manalili
Production : Jean-François Camuset
Production : Nathalie Truche
Photo : Roland Tisserand
Production : Gay Gassman
Photo : Roland Tisserand
Production : Clémence Leboulanger
Photo : Roland Tisserand
Production : Kaoru Urata
Photo : Roland Tisserand
Production : Marie Farman
Photo : Raphael Dautigny
Production : –
Photo : Roland Tisserand
Production : Dominique Deveaux
Photo : Roland Tisserand
Production : Matthieu Jacquet
Photo : Roland Tisserand
Production : Laurine Abrieu
Photo : Roland Tisserand
Photo : Roland Tisserand
Photo : Roland Tisserand
Production : Véronique Lorelle
Photo : Roland Tisserand
Production : Madeleine Voisin
Photo : Alexis Leclercq
Production : Pierre Léonforte
Production : Clémence Leboulanger
Photo : Roland Tisserand
Production : Joseph Brami
Photo : Papier Plié
Production : Véronique Lorelle
Photo : Agnes Dherbeys
Production : Marie Dewilde
Photo : Roland Tisserand
Production : Antoine Mansier
Photo : Roland Tisserand
Production : Tonje Madsen
Essaimés dans l’espace, les bouts de canapé Onde, en finition bois, béton ou métal, réveillent le salon tout en douceur. Jouer avec les pleins et les vides à l’image des vagues et de leurs rouleaux.
Ces éléments monolithiques composent des ponctuations d’intérieur et offrent des surfaces de pose. Les tables ONDE dessinent un petit archipel d’intérieur, une invitation à une douce dérive.
Au premier regard, la table basse Onde se veut sculpturale et monolithique. Une apparente simplicité qu’elle doit au caractère organique de sa silhouette.
Mais à l’image de la nature, elle est à la fois une et multiple, sobre et élégante, brute et légère, compacte et animée. Dans un second temps, elle dévoile un monolithe empli de mouvement. Celui des vagues, contenu dans la matière et créé par le décalage des volumes superposés.
Tout en douceur et en sinuosité, le canapé Dune rappelle les ondulations du sable balayé par le vent. Sa ligne simple, ses formes rondes soulignées par des coutures discrètes, ses volumes enveloppants en font une pièce maîtresse autour de laquelle s’anime la maison.
Son assise à la profondeur irrégulière invite à s’y asseoir tout au long de la journée en variant les postures. Tantôt convivial, tantôt intime, Dune se transforme en refuge où rêver et lire.
Le piètement en chêne sablé souligne la cambrure de l’assise et rappelle l’attachement de la Maison Philippe Hurel au travail d’ébénisterie.
production: Julie Rebeyrol
photo: Roland Tisserand
production : Mikhael Kolotov
photo : Roland Tisserand
production: Violaine Belle-Croix
photo: Roland Tisserand
production: Caroline Bouige
photo: Roland Tisserand
production: Segolene de Wacronier
photo: Roland Tisserand
production: Clémence Le boulanger
photo: Roland Tisserand
production: Xavier de Jarcy
photo: Roland Tisserand
production: Violaine Belle-Croix
photo: Roland Tisserand
production: Sylvie Adigard
photo: Roland Tisserand
production: Myriam Boucharenc
photo: Roland Tisserand
production: Sophie Roulet
photo: Roland Tisserand
production: Victor de Sepausy
photo: Roland Tisserand
production: Rachel Gallaher
photo: Roland Tisserand
production: Marie-Hélène Balivet
photo: Roland Tisserand
production: Laure Amoroso
photo: Roland Tisserand
production: Lise Coirier
photo: Roland Tisserand
production: Lise Coirier
photo: Roland Tisserand
production: Yvette Yang
photo: Roland Tisserand
production: Thierry Bodin-Hullin
photo: Papier Plié
production: Antoine Le Fur
photo: Roland Tisserand
production: Caroline Bouige
photo: Roland Tisserand
production: Pierre Léonforte
photo: Roland Tisserand
production: Laurie Abrieu
photo: Roland Tisserand
production: Roxanne Robinson
photo: Roland Tisserand
production: Guy-Claude Agboton
photo: Roland Tisserand
« Je savais que je ne posséderais pas cette jeune cycliste si je ne possédais aussi ce qu’il y avait dans ses yeux. Et c’était par conséquent toute sa vie qui m’inspirait du désir ; désir douloureux, parce que je le sentais irréalisable, mais enivrant, parce que ce qui avait été jusque-là ma vie ayant brusquement cessé d’être ma vie totale, n’étant plus qu’une petite partie de l’espace étendu devant moi que je brûlais de couvrir, et qui était fait de la vie de ces jeunes filles, m’offrait ce prolongement, cette multiplication possible de soi-même, qui est le bonheur. »
Marcel Proust, À l’ombre des jeunes filles en fleurs
Albertine Simonet est le personnage le plus souvent cité dans La Recherche.
Elle est une des « jeunes filles en fleurs » rencontrées par le Narrateur à Balbec (Cabourg). Impertinente, vaporeuse et mouvante, Albertine est décrite par Marcel Proust comme « un être de fuite ».
Dans la série indéfinie d’Albertines imaginées qui se succédaient en moi heure par heure, l’Albertine réelle, aperçue sur la plage, ne figurait qu’en tête, comme la « créatrice » d’un rôle, l’étoile, ne paraît, dans une longue série de représentations, que dans les toutes premières.
Marcel Proust, À l’ombre des jeunes filles en fleurs
Désirant le Narrateur quand il ne veut plus d’elle, se détachant quand il en fait sa prisonnière… Albertine est multiple et insaisissable : un pur objet de désir.
La chaise Pomare tient son nom et son origine de la dernière dynastie royale de Tahiti. Anthony Guerrée l’a choisi comme principale source d’inspiration car cette assise à dossier haut symbolise le désir amoureux. Ce type de chaise a fait son entrée dans la culture populaire dans les années 70 avec l’affiche du film érotique Emmanuelle et représente depuis la légèreté et les mœurs libérées.
Je savais que je ne posséderais pas cette jeune cycliste si je ne possédais aussi ce qu’il y avait dans ses yeux. Et c’était par conséquent toute sa vie qui m’inspirait du désir ; désir douloureux, parce que je le sentais irréalisable, mais enivrant, parce que ce qui avait été jusque-là ma vie ayant brusquement cessé d’être ma vie totale, n’étant plus qu’une petite partie de l’espace étendu devant moi que je brûlais de couvrir, et qui était fait de la vie de ces jeunes filles, m’offrait ce prolongement, cette multiplication possible de soi-même, qui est le bonheur.
Marcel Proust, À l’ombre des jeunes filles en fleurs
Le dossier circulaire au motif rayonnant dessiné par Anthony Guerrée pour cette assise « Albertine » est une allusion directe à la bicyclette chevauchée par Albertine à Balbec.
production: Marion Vignal
photo: Roland Tisserand
production: Gabrielle Kennedy
photo: Roland Tisserand
production: Clémence Leboulanger
photo: Papier Plié
production: G.Le.
photo: Papier Plié